Il a tout bon, un peu que j’en ai des conseils. C’est comme si j’avais passé ma vie sur une chaise-haute tellement j’ai bûché le sujet (même si au fond, je préfère les chaises-longues…).  Donc, je vous fais partager ma réponse à cet appel au secours.

« Avec ce genre de modèle, il faut acheter un harnais en plus (c’est pas cher, une dizaine d’euros et ça se trouve partout (Aubert, grandes surfaces…). L’autre truc auquel il faut faire attention, c’est que l’enfant avec sa chaise ne soit pas trop près de la table sinon, il peut basculer en arrière en prenant appui avec ses pieds ou ses mains.

C’est pour ça que nous, nous avions choisi une chaise évolutive (modèle 2- Geuther, voir aussi celle-ci Svan of Sweden – confort puis chaises). Il n’y a que deux larges pieds donc, moins facile de basculer avec. En plus, on peut enlever le petit plateau quand l’enfant grandit. N’oubliez pas de prévoir, quel que soit le modèle, un petit coussin molletonné pour ne pas abîmer les petites fesses de G. »

J’ajouterai que les chaises-hautes en plastiques (modèle 3- Babymoov ou la Peg-Pérego dont parle Boulette) sont souvent ce qu’il y a de plus pratique, en plus d’être souvent très sécurisées. Elles peuvent se plier rapidement, intègrent des jouets, peuvent faire table à dessin une fois pliées etc. Mais quand on ne peut pas les laisser dans la cuisine, ce n’est tout de même pas terrible au milieu du salon.
Si vous aussi vous avez des conseils à donner au papa de G., n’hésitez pas !